Un avant-goût de la mort roman – Ayman Al-Atoum

Ils diront que j’aime une fille plus âgée que lui ?! Il avait besoin de sa tendresse et de son affection, pas de son amour et de son cœur, et ainsi de suite ; Je suis agité par le vent, j’ai besoin de quelqu’un pour me tenir contre son sein. Ils diront : Un fou finit presque dans la rue sans visage, et tant pis, j’avais ce visage en suivant mon père dans les collines montantes jusqu’au sommet d’Ibn Jubayr. Ils diront : Les livres l’ont rendu fou, il était sans cœur avant, et après cela il est devenu sans cervelle. Les livres qu’il lisait le faisaient vivre en eux, et le séparaient de la réalité ; Il n’était plus lui, et ainsi soit-il ; Indiquez-moi quelqu’un qui peut dire que c’est lui !! Ils diront : Ses yeux le détruisirent alors qu’il plongeait dedans comme une plume d’aile de mouette se balançait sur la sérénité de la mer, et tant pis, étais-je un destin plus beau que d’être noyé dans leur mer ?!! Ils diront : Il a mûri avant son temps, et a brûlé avant sa maturité ! Et soit cela, j’aime vivre dans des forêts tropicales qui ne reconnaissent pas les saisons comme échelle de maturité, et ne reconnaissent pas la chaleur comme moyen de combustion. Je brûle en moi pour moi, je meurs pour ne pas me perdre…!!!